Bonjour,
tout d'abord merci pour ton intervention Jibe, on a effectivement pas le même point de vue, je respecte le tient aussi. Pour le moment, j'ai juste remarqué que je perdais moins de temps a bricoler SME pour arriver à mes fins sans le casser, que de monter un bousin de zéro et qu'il soit cassé à la première mise a jour faite par la distribution.
Le corolaire de stabilité est souvent vétusteté. Donc les dernières innovations du kernel ne sont pas présentent car pour arriver à SME il faut que ca fasse kernel => Fédora => Red Hat EL => centos => SME; mais l'innovation ne fait que le chemin vers les nouvelles versions donc comme SME est basé sur centos 4 (qui en est a la 5) qui lui même est basé sur Rhel 4 ( qui en est a la 6 il me semble) qui est basé sur une vieille fédora (qui en est a 11 au moins) ... ben pas de chance.
Par contre SME garde un kernel libre de faille de sécurité via les patch de sécurité faisant le même chemin mais qui pour des raisons de sécurité font aussi la route vers les vieilles versions de kernel.
Pour en revenir à nos moutons:
- c'est possible de compiler son propre kernel
- je ne suis pas le seul a le faire :
http://smolt.contribs.org/static/stats/stats.html , onglet kernel
- cela demande de vérifier les alertes de sécurité tous les jours pour patcher
Le passage a un kernel > 2.6.15 nécessite aussi la modification des paquets HAL et udev.
Il y'aura peut être des problèmes avec d'autres librairies, et tu devras ajouter des modules nécessaires à SME qui habituellement sont ajouté par des rpm a part appelé kmod.
Le jeu en vaut il la chandelle ou peut tu vivre sans la température du processeur sachant qu'un serveur ne vie pas aussi dangereusement qu'une machine overclockée?
Personnellement, je ne m'embêterais plus avec un senseur de température non supporté par le kernel alors qu'un port usb ou un port com avec un microconroleur interfacé dessus et un senseur de température et 3 résistance peut faire la même chose ... mais bon Jibé va encore me dire que je bricole